Pour quelles raisons cherchons-nous des planètes de type terrestre ? Est-ce de la curiosité pour l’inconnu ? L’exploration de l’univers ? La poursuite de la vie ? La peur de la solitude ? Ou la lassitude du ciel bleu, des nuages blancs, des herbes vertes et des clairs ruisseaux… ? Sommes-nous poussés par des périls imminents, et obligés de trouver d’autres habitats ?

Après avoir essayé de viser des milliers d’objectifs (les planètes supposées habitables), nous connaissons encore peul’immense cosmos : quels sont les mystères cachés dans ces milliers de billions d’étoiles ?

Le jour où on aura vraiment trouvé une ou plusieurs planètes – ce qui hante nos rêves-pourrons-nous facilement abandonner la Terre, l’endroit qui engendre le miracle de la vie, heureux de penser que nous possédons plus de choix de subsistance ? Bien sûr, nous ne pouvons pas savoir exactement à quelle situation l’humanité fera face à ce moment-là. Donc, actuellement, nous ne pouvons pas nous risquer évoluer ces questions. Mais, avant que ce moment ne se présente, ne devrions-nous pas au moins déployer davantage d’efforts pour sauvegarder cette Terre encore “unique”, ainsi que les innombrables vies qui y  sont attachées ? Devons-nous consacrer plus d’énergie à comprendre ce qui s’est déjà passé et ce qui est en train de se passer dans chaque pouce du sol autour de nous ?